Le mot du Maire

VACANCES

Au moment où vous lirez ces quelques lignes, les écoliers auront déjà quinze jours de vacances derrière eux, certains employés, terminé les leurs, d’autres s’apprêteront à les prendre. Ce temps d’arrêt est utile, nécessaire, vital : pour ne rien faire, faire autre chose ou le faire autrement, souffler, penser à autre chose, se détendre.

Les tensions sont en effet fortes, nombreuses, quotidiennes. C’est aussi le cas dans nos communes en proie à une situation financière qu’elles n’ont que rarement connue. Elles participent en effet à l’effort de l’Etat de réduire une dette publique bien trop élevée, certes depuis des années. A la baisse des aides de l’Etat, s’ajoutent les diminutions des subventions. Une aire nouvelle s’ouvre donc qui nous oblige à faire de nouveaux choix. Ce n’est ni simple, ni exaltant mais c’est nécessaire. Ces nouvelles contraintes nous conduisent à plus de solidarité. Voilà un chemin sinueux mais porteur d’espoir dès lors que chacun, avec ses moyens et sa volonté s’y met. Une fois de plus je vous y invite. Chaque geste de solidarité est une pierre apportée à l’édifice d’une société équitable et digne de l’homme.

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URLAAB

Friehjer hàt mr des Wort un die Zitt net so gekannt. In de hittiche Lawesbedingunge kànn m’r nemeh sin uhne. Es gibt e Vielfàlt vun Urlaabsvorschlaj, je noch Galdsàck, Luscht, Chàràkter usw. Unsri Luft un unsre Wàld liefre uns schun genung Stoff fer Kopf un Leib üszeruwe. Doch begnejt m’r sich net unbedingt mit däm wàs m’r s gànz Johr hàt. Scheener Summer àn àlli.

Charles Schlosser

Farniente-pieds